les traumatismes de la petite enfance prennent parfois une ampleur considérable lors des opérations de successions. C’est le moment que choisissent, consciemment ou inconsciemment, les membres d’une famille et même d’une fratrie pour régler leurs différends, nés d’une jalousie ou d’un quiproquo ancien.
Chaque partie va prendre en otage le processus de liquidation successorale en otage en privant ce dernier du consentement requis par le notaire. Par la médiation successorale, il est possible de déterminer le problème profond qui mine la communication entre parents, frères et sœurs, membres du même clan familial.
Pour cela, le médiateur s’intéressera aux évènements passés pour trouver le lien avec les postures présentes des parties au conflit. Et, ainsi, il apporte son aide précieuse à l’auto-détermination des parties sur un avenir commun plus harmonieux.